samedi 15 juin 2019





Il est humble, discret et bienveillant. Il se nomme Paulak Akakpo.

Son monde est prétentieux d’œuvres démesurées qui éclatent de couleurs ardentes, lumineuses, intenses, bouleversantes. Le couteau transperce les pigments, éruption de reliefs. Je voyage au centre de la terre, au cœur de l’humanité. Impressionnée, je m’approche prudemment de chaque tableau. Je découvre alors un coucher de soleil pourpre, une mer azurée, un ciel orageux, une terre embrasée. Je rencontre Empédocle.

D’œuvre en œuvre, je contemple, me rassasie de ces instants fugaces qu’offre la lumière sur notre terre, offerts par petites touches de la main de l’artiste sur un tableau sacrifié par l’effondrement de la planète.


 Serait-ce une vision sur le devenir de la terre ou celle de son origine ?

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